En collaboration avec François Navarro
Ce projet s’inspire de la forêt subtropicale. Nous y retrouverons des fragments de paysages qui définissent une vision du jardin « planétaire » comme le souligne Gilles Clément. Entre espèces subtropicales et méditerranéennes, ce jardin décrit un univers endémique de la Nouvelle-Zélande. Il est également constitué de lignes courbes, de multiples matières, tel que le bois, l’eau, la pierre, la terre et le métal. C’est une invitation à la fraicheur, à la détente au fil d’un parcours sensitif et sensoriel.